jeudi 20 mai 2010

Queensland : Australie

Queensland, Australie - Langue officielle : anglais - Monnaie : dollar australien


Quand deux écosystèmes différents cohabitent la faune y est très riche.Découvrir les espèces de la forêt fluviale et les espèces marines et terrestre de la barrière de corail est une expérience très rare .








Cette arche de Noé tropicale se trouve a Travelation Cap. un vrai petit coin de paradis
Cependant
il est fortement déconseillé de découvrir la jungle seul. De plus la présence d'un guide expert permet de voir des choses que le simple touriste n'imaginerait même pas;








Vieille de plus 100 millions d'années, la jungle du QUEENSLAND est un des trésors de l'état australien. Plusieurs organismes proposent d'en découvrir les méandres en bateau, mais les guides locaux vous proposent d'aller en arpenter les cotés sauvages (pendant environ deux heures) en canoë.

D'une superficie de 900 milles hectares, la forêt
du Queensland offrent des opportunités uniques pour les zoologues, les botanistes ou les biologistes.











Pour faciliter le travail, des scientifiques ont érigé une grue de plus de 50 mêtres de haut. Elle donne un accés directe à la canopé (la cîme des arbres). Même
si sa fonction première est d'aider les scientifiques, la grue est parfois ouverte au publique qui ne s'en privent pas On y découvre, entre autre, des fruit, cacao, épices mais aussi des plantes médicinales comme le camfre, la quinine, et divers insecticides sans oublier la résine, les fibres, les caouchoux ainsi que de nombreuses variétés aus effets encore inconnus aujoud'hui.
La faune qui peuple la jungle est d'une diversité tellement importante que la plupart ne sont pas encore répertoriés.

Situé au Sud-ouest de l’Océan Pacifique, l’Australie appartient à l’Océanie.
Voisin de la Nouvelle-Zélande au Sud-est et de l’Indonésie au Nord, ce pays continent fait 15 fois la superficie de la France.
On peut faire de la plongée à tous les prix, qu'on ne nage pas, qu'on soit adepte du masque et du tuba ou adepte des profondeurs, la grande barrière de corail est accéssible à tous. La beauté, la densité et la variété de ces fonds sous-marins vous garantissent des expériences de plongée inoubliables. Ce paradis des plongeurs dénombre 2 900 récifs différents, 71 îles coralliennes, plus de 10 000 sortes d’éponges, 400 différentes espèces de coraux, 4 000 variétés de mollusques, 350 variétés d’échinodermes et plus de 1 500 espèces de poissons. Il abrite également plusieurs espèces menacées comme le dugong, la tortue verte
et la tortue carette.

La Côte Est abrite la plus grande étendue corallienne vivante au monde (plus de 2000km, 350000m2) classée au patrimoine de l’Humanité par l’UNESCO, parfois même appelé le plus grand animal vivant du monde. La vaste biodiversité, les eaux claires et chaudes en font une destination d’exception à découvrir impérativement !

jeudi 13 mai 2010

les Mohaîs de l'île de Paques

L'île de Paques






Petit détour par l'île de Paques




Au départ, les explorateurs ne savaient pas de quoi il s'agissait, ni qui avez édifié les statuts collossales appelés MohaÏ. L'hitoire des MohaÏs est édifiante et troublante.




Ils représentaient les âmes des ancêtres disparus et se trouvaoent tournés vers l'intérieur de l'île pour protéger leurs descendants.




Il reste 400 MohaÏs sur les carrières de Ramoraracum. La moitier ne fût jamais terminés , beaucoup d'autres restent idans la roche où ils furent taillés directement.

On ignore encore pourquoi des 900 Mohaîs présents sur le site ne furent jamais redressés ou hissés sur leur socle.

Autour de la carrière des douzaines de Mohaîs ont été abandonnés et regardent dans différentes directions. Un évènement dramatique se produire en très peut de temps puisque la production sacrée des Mohaîs fût abandonnée.

Une fois taillés, les Mohaïs étaient trainnés à l'aide de cordes et de rondins de bois jusqu'à leur socle au bord de la mer.
Là on y apportait les retouches finales. les status étant posés sur leur Ahou (socle), on y plaçait des yeux en coraille ou en oxydiène, une roche volcanique, afin de leur donner vie. De nombreux Mohaïs furent laissés face contre terre où l'on pense qu'ils auraient été renversés par des clans rivaux alors que l'île étaient pleine guerre civile.
Les habitants de l'île avaient coupé de nombreux arbres et c'est sans doute pourquoi ils se retrouvèrent à court de bois pour construire des maisons ou encore pour fabriquer des bateaux de pêche ou pour quitter l'île.
La tragédie de l'île de paques contient donc peut-être un message s'adressant à ceux qui abusent des ressources qui les entoure.

lundi 3 mai 2010

Un peu d'histoire ?

Au XVème siècle, la Comtesse Jacomine de Bavière, née en 1401, aimait à se promener dans son jardin potager. Il va sans dire que ce « potager » n’a qu’un lointain rapport avec ceux qui ornent nos villages et nos cités. On venait là pour y chasser et recueillir des plantes aromatiques destinées à la cuisine du château.
Jacomine était une personne peu ordinaire, qui décéda de la tuberculose à l’âge de 35 ans, eut néanmoins le temps de se marier 4 fois, fit quelques années de prison, séjourna en Angleterre, et consacra une grande partie de son temps à faire la guerre, notamment à l’un de ses ex-époux.
Vers 1850, le paysagiste Zocher, de Haarlem, créateur du Vondelpark d’Amsterdam, dessina le jardin original, à la base du parc actuel. Un siècle plus tard, en 1949, le bourgmestre de Lisse, la ville voisine, à la tête d’un groupe de cultivateurs et d’exportateurs de bulbes développa l’idée d’une exposition, florilège de leur savoir-faire.
Chaque année désormais, ce sont plus de 7 millions de bulbes qui sont donc plantés au Keukenhof (le jardin potager du château), sur 32 hectares. Parmi ces bulbes, 600 sortes de tulipes flamboient et créent, au milieu des jacinthes, narcisses et autres merveilles, un véritable enchantement de couleurs et de formes, certaines totalement inattendues.

Des fleurs aussi belles que nombreuse : une journée à Keukenhof.







Une journée au pays fleurs .



Partis du Nord de la France, nous avons roulé quatre heures, traversant la Belgique dans toute sa longueur, en apercevant toute sa beauté qui défilait derrière la vitre du bus comme sur un écran de cinéma en trois dimensions, pour arriver en Hollande, direction : Keukenhof. Plus nous approchions et plus la nature se parait de couleurs, comme sorties tout droit de la palette d'un peintre. Des bandes, des couleurs les plus variés, zébraient le vert paysage, chacune de ces bandes étant en fait formée par des milliers de fleurs multicolores.


Imaginez que l'on puisse visiter le printemps, alors on visiterait certainement les superbes jardins de Keukenhof, emplis des senteurs les plus douces, des couleurs les plus belles et des formes les plus variées. Des plans d'eau, où vivent paisiblement des familles de signes et de poules d'eau, des rivière aux eaux vivent

Ps. il a plu des cordes pendant toute la visite, mais la beauté des jardins nous a vite fait oublié le mauvais temps !!!